samedi 12 mai 2012

Trois questions à Florence DOLE


Vous venez de signer un premier ouvrage. En quoi l'écriture d'un roman policier vous a-t-elle intéressée ?

Le roman policier est le genre littéraire idéal pour faire passer des messages, des idées, pour désigner une réalité. Il permet par ailleurs de révéler ce que les protagonistes portent en eux de plus intime, de montrer leur face cachée.
L'intrigue permet de tenir le lecteur en haleine. Le rythme peut être soutenu. "Battements" comporte de sucroît de vifs dialogues.

Pourquoi avoir placé votre récit dans les milieux judiciaires ?

Il y a toujours cette dualité dans le coeur des gens pour tout ce qui concerne les affaires de justice, c'est à la fois un droit que l'on recherche et une organisation que l'on rejette. On connaît tous, dans notre entourage, quelqu'un qui a été malmené par le système judiciaire, voire qui a souffert de décisions iniques. Disons que c'est une forme de catharsis pour beaucoup !

Un récit rythmé, sensible, une histoire destinée à toucher la plupart des gens, de quoi séduire nos lecteurs, selon vous ?

Oui (rire). Ce d'autant que l'histoire se déroule au sein de diverses régions françaises : Aquitaine, Bretagne, Lorraine, Picardie... De nombreux souvenirs sont évoqués à travers les villes de Paris et Châtellerault, mais également d’Argentan ou de Carry-le-Rouet. Une photographie de Chinon a été choisie afin d’illustrer la première de couverture. L’histoire se poursuit en Italie...

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Mystérieuse et agréable. De Florence à Lannion j'ai le souvenir. Dole, comme un envol pour des contrées intérieures. Du peintre à l'écrivaine. Sylvain

Anonyme a dit…

Impressions

Bonsoir. Je vous ai acheté " battements " au centre leclerc de Lannion. Je vous avais dis que je vous ferais part de mes sensations pour la lecture d'un premier roman policier. Je l'ai terminé hier au soir et je me permets donc vous poser ce mail. Le jour de l'achat, j'avais également pris l'interview de trois questions à " Forence Dole ". A la première question, vous avez répondu : " le roman policier est le genre idéal pour faire passer des messages, des idées ". Je trouve ce passage très explicite de ce qu'est votre roman. Pour moi, ce n'est pas un roman poliicier, d'ailleurs je n'ai rien retenu des faits de justices mais j'ai beaucoup aimé le dernier quart du livre. J'y ai ressenti l'écriture d'une personne qui a une grande perception des sentiments, des émotions humaines. Jolie sensibilité. Je me rappelle avoir été surpris du choix du modèle graphique de l'écriture, finalement cela passe très bien et évite une surcharge de noir sur blanc. Aucune page ne semble très longue. Voilà, je pense vous avoir dis l'essentiel de mon ressenti et espère ne pas avoir importuné. Etes vous à travailler sur une suite voir un autre sujet ? D'une origine française à une origine italienne. A vous lire. Jean-Jacques.

Anonyme a dit…

Plus tôt que prévu


Je me permets de vous laisser ce mot bien plus tôt que prévu. Rentré chez moi, j'ai ouvert le livre, j'en ai lu la préface, puis la première page, la seconde et.... j'en suis à la 63 ème. C'est mon premier roman " policier " ( votre livre ne me semble pas se limiter qu'à une enquête ) et c'est aussi la première fois que je vois et discute avec son auteur. Est ce cela, j'ai l'impression qu'on perçoit différemment ou disons autrement. Je me permettrais de vous tenir au courant ( en toute modestie ) de mon ressenti... de mes battements. Bon WE JJ

Florence Dole a dit…

Bonjour Sylvain,

Je vous remercie pour cet agréable message.
Je reviendrai sans doute à Lannion d'ici la fin de l'année, peut-être aurai-je le plaisir de vous y rencontrer à nouveau.

Florence Dole

Florence Dole a dit…

Bonsoir,

Je viens de vous lire... avec beaucoup d'attention.
Je vous remercie sincèrement pour ce témoignage qui m'a beaucoup touchée.
Je ne manquerai pas de reprendre contact avec vous si je reviens à Lannion, pour le plaisir d'échanger sur cet ouvrage ou à propos de lecture. D'ici là, n'hésitez pas à m'écrire si vous le souhaitez.

Merci encore.
Florence Dole

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